Nous étions

Nous étions assis sur un banc, la nuit était belle
Je l'aimais d'un amour secret et interdit
Sans oser me regarder, dans l'obscurité, elle me dit
Soyons amants. Alors j'étais celui, elle était celle

Bonheur fragile marquant ma vie d'une éternité d'intenses ressentis
Je l'aime aujourd'hui comme hier, hier comme demain
Mes yeux semblables à des miroirs ont gardé le regard du soir où elle me dit
Mon corps, mon coeur, mon histoire, je les mets entre tes mains

Pourtant, le temps a emporté avec lui ce soir où elle me dit
Apprends moi l'amour, avec toi je veux découvrir le paradis
La vie passe mais les sentiments jamais ne se lassent pour celle
Qui, de ses mots, de ses lèvres, m'a donné du miel pour effacer le sel

Nous étions assis sur un banc, la nuit était belle
Je l'aimais d'un amour secret et interdit
Sans oser me regarder, dans l'obscurité, elle me dit
Soyons amants. Alors j'étais celui, elle était celle

J'aurais Voulu

J'aurais Voulu te dire l'Eternelle beauté du Monde
Mais les mots m'arrivent trop insuffisants
J'aurais Voulu te dire combien près de Toi mon cœur gronde
Mais ma pudeur m'arrête inéluctablement

J'aurais Voulu te dire le plus beau des discours
Mais les démons de la timidité m'entourent
J'aurais Voulu te dire combien tes lumières m'éclairent
Mais en moi sans que je sache pourquoi tout se resserre

J'aurais Voulu te chanter une belle chanson
Mais pauvre de moi, ma voix se perd dans les mots
J'aurais Voulu te dire tout ce qui m semble faux
Mais en ta présence s'envole ma raison

Je veux t'écrire tout ce que je ne peux te dire
A Toi de voir au-delà des mots
Je veux t'écrire tout ce qui me fait souffrir
A Toi de soigner tous mes maux

Pourtant, il Faut Vivre

Tu rêvais d'une vie avec lui
Pourtant, il est parti
Tu voulais porter ses enfants
Mais, il a suivi le vent

Il était ton merveilleux ami
Ton plus solide appui
Pourtant, il est parti
Aujourd'hui, tout est devenu ennui

Il t'avait promis les plus beaux diamants
Pourtant, à présent, il est absent
Tu cherches de nouveaux repères
Mais en vain, peu à peu, tu te perds

Désormais, tu te réfugies dans la poésie
Pour oublier que même la passion trahit
Parfois, l'Amour est triste
Mais il faut que tu lui subsistes.

Sentiment

Tout explose en moi
Quand je pense à toi
Evanoui par tant de désir
Tu restes mon seul plaisir.

Fleur qui ne veut pas s'ouvrir
Je voudrais tant t'épanouir
Protéger à jamais ton empire
En repoussant tous les autres navires.

Près de moi, tu seras comme une reine
Et ton cœur oubliera toutes peines
Près de moi, tout sera sourire
Jamais plus, tu ne devras souffrir

Ouvre donc la porte de l'Amour
Nous verrons alors la lumière du Jour
Laisse dans le vent, tes sentiments s'exprimer
Car dans le silence, je n'en peux plus de t'aimer